gute nacht schubert wikipedia

Heine, si clairvoyant sur les causes réelles du romantisme, logées dans l'absence de liberté politique, rend hommage au poète[3] et dit son admiration : « Combien purs, combien clairs sont vos chants et dans leur ensemble ce sont des chants populaires. Jen la titoloj de la kantoj kun iliaj der verknumeroj kaj tonalo. Il s'agit d'une marche, le voyage inexorable commence, campé par l'introduction. Qu'empruntent les autres voyageurs, 21. Mais la gravité de l'œuvre, ses accents sombres et sa profondeur en font l'élection des barytons, tels Hans Hotter, Dietrich Fischer-Dieskau, Thomas Quasthoff, Alain Buet[26]. Drei Sonnen sah ich am Himmel steh’n, D.911 (published as Op.89) I-Catalogue Number I-Cat. La trace de ses pas, Chez Müller, le vers 3 original est "Und ist's mir denn entgangen". Im Dorfe (Au village) J'en fus douloureusement ému. Es schlafen die Menschen in ihren Betten, Les chiens aboient, leurs chaînes cliquettent ; – En mi mineur (original en fa mineur) / Langsam, Manche Trän’ aus meinen Augen À l'époque de Müller, le tilleul est un symbole d'une nature douce et bienfaisante, il est l'arbre de l’amour, le lieu de rendez-vous galant[31]. ». Demus s’acquitte de sa tâche d'accompagnateur avec un toucher un peu plus fruste, plus terrien, que celui de ses rivaux, ce qui n'exclut nullement une constante musicalité. Im Nachfolgenden sind die Titel der Lieder mit ihren Deutsch-Verzeichnis-Nummern und kurzer analytischer Beschreibung aufgelistet. « Les vingt-quatre stations de Schubert sont un chemin sans croix ni chemin[7] Â», décrivant les différentes facettes, tragiques, de l'état d'âme du poète, perturbé par des souvenirs du bonheur perdu, comme des ombres (évoqué systématiquement en majeur, mais moins présent et moins nettement dans le second cahier[24]). 6. Le cycle du Voyage d'hiver ou Winterreise est sans doute le plus beau recueil de lieder de Franz Schubert. Ist gefallen in den Schnee, Mainte larme de mes yeux Après une période créatrice et humaine difficile pour le musicien, ces lieder sont le « prélude Â» à ses plus hauts chefs-d'œuvre que sont le quintette à cordes en ut, le quatuor à cordes n° 15, les trois dernières sonates pour piano dont la sonate no 21, les impromptus, la Fantaisie en fa mineur, la Messe en mi majeur, ou la grande Symphonie en do. […] ravira les mélomanes persuadés que le propos de Schubert est avant tout ici celui des forces brutes de la Nature en l'homme, autour de sa conscience réduite à l'errance sans fin […] Le maître [Sawallisch] est un superbe chef d'opéra, et cela s'entend clairement au piano : son travail traite la partition comme l'accompagnement lyrique par l'orchestre. Convaincu d'avoir une œuvre complète avec les douze poèmes qu'il a mis en musique (lieder 1 à 12), Schubert invite ses amis à la première audition, le 4 mars 1827 au soir. L'action a déjà eu lieu : la bien-aimée n'est plus sienne, et Müller dit adieu au monde[12] ; Schubert l'entend sur un rythme de marche. […] Si l'on ajoute que la voix était à son apogée et que la version Moore (1972) ne nous la fera plus entendre avec un timbre aussi beau, on comprendra qu'il s'agit-là d'un maillon discographique majeur. He is particularly noted for his original melodic and harmonic writing. Winterreise (Talvinen matka) op. Pas de fusion, de poursuite du soliste, mais un propos indépendant, complémentaire. Le « roman musical s'achève sur la vision d'un misérable joueur de vielle que les chiens houspillent et à qui personne ne tend la main, image trop certaine de l'artiste qui œuvre dans les ténèbres, dans l'hostilité ou l'indifférence générale[16]. Schubert, "Gute Nacht", piano link to the final verse, where the key changes from minor to major. Le schéma tonal est rigoureux pour la première partie : deux lieder ré et la mineur ; deux lieder dans des tonalités avec bémols : fa et ut mineur ; puis trois dans des tonalités avec dièses : mi majeur, fa et mi mineur. Begin van het eerste lied, Gute Nacht Winterreise ( Winterreis ) is een cyclus van 24 liederen van Franz Schubert (op. 1 – "Erlkönig" D 328, Song "Der Erlkönig" ['Wer reitet so spät durch Nacht und Wind?'] Winterreise (Viaje de invierno) es un ciclo de lieder compuesto por Franz Schubert, sobre poemas de Wilhelm Müller.Lleva como n.º de Opus 89. No. D'une voix toute émue, il nous chanta dans son entier le Voyage d'hiver. Par rapport aux premiers, portés par la métaphore amoureuse, les seconds sont plus profonds, métaphysiques, jouent de double sens, absent dans l'édition Urania. De eerste "Abtheilung" van twaalf liederen werd voltooid in februari 1827, de tweede met de overige twaalf in oktober van dat jaar. Que lorsqu'enfin je trouve le repos, Égaré, le poète perd la raison. English translation. Winterreise op. Sur la maison de ma bien-aimée, Encore symbole poétique, la girouette est l'esprit changeant de la bien-aimée, traité avec une pointe d'ironie[29], mais elle est de courte durée. See Full Entry. Siitä on tullut lied-repertuaarin maineikkain teos, jota esitetään ja levytetään jatkuvasti. Outre le texte, la musique accumule les pistes : trois dièses (la majeur), mesure à 3/4, découpe A-A'-B-A, mélodie reprise trois fois, cadence parfaite conclusive reprise trois fois. Un ami de Schubert écrit : « Schubert fut pendant quelque temps d'humeur sombre et paraissait souffrant. , pensées sur le Winterreise de Schubert, « Winterreise Â» par Thomas Kalka et Carmen Daniela (piano), https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Winterreise&oldid=177648494, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Enregistrement différent du précédent, réalisé les 24 et, Version pour ténor et orchestre composée par. Dans cette double page de musique à l'accent mystérieux, abondent les symboles autour du chiffre trois. Dieser Liederzyklus basiert auf einer Gedichtsammlung von Wilhelm Müller mit dem Namen Aus den hinterlassenen Papieren eines reisenden Waldhornisten. », « comme pour faire sourire un peu cette âme dévastée[28] Â» du voyageur. Bien qu'écrit à l'origine pour ténor, et non pour baryton, le Winterreise a aussi été interprété par des voix de femmes à commencer par Elena Gerhardt dès 1928 pour HMV, et Lotte Lehmann en 1940 ; de nos jours, l'œuvre l'a été par les mezzos Christa Ludwig, Brigitte Fassbaender, la contralto Nathalie Stutzmann et les sopranos Margaret Price et Christine Schäfer. ». – En la majeur / Nicht zu langsam. Au contraire on peut penser que ce piano très franc, direct sans aucune brutalité, équilibre à merveille le penchant du chanteur pour la préméditation soigneusement calibrée. Ich kann zu meiner Reisen Nicht wählen mit der Zeit, Muß selbst den Weg mir weisen In dieser Dunkelheit. Die Nebensonnen (Les reflets du soleil dans les nuages – Parhélie) This page was last edited on 4 February 2018, at 14:30. Ich folg’ ihm nach die Kreuz und Quer, Une lumière danse gaîment devant moi, », « comme pour faire sourire un peu cette âme dévastée, « est un exemple absolu de concision et de forme pure, « est soutenu par une seule pulsation (triolet de croches, noire pointée) – on dirait le pas d'un homme qui se force à aller de l'avant. Un autre recueil de Müller, « Chants grecs Â», où – sous couvert de la lutte pour l'indépendance des Grecs contre l'occupation turque – il s'en prend au sombre système réactionnaire de Metternich, accentue la conscience de la réalité, et nous aide à profiler le sombre Voyage d'hiver dans un contexte anti-démocratique. Er zijn vele analyses van de Winterreise gepubliceerd, ook van uitvoerende kunstenaars als Dietrich Fischer-Dieskau, Gerald Moore en Ian Bostridge. », « Combien purs, combien clairs sont vos chants et dans leur ensemble ce sont des chants populaires. Schubert reprend donc simplement le deuxième titre. Par sa densité et son dramatisme, l'œuvre dépasse tout ce qu'il a produit dans le genre. Vele commentatoren plaatsen de cyclus in een politiek-maatschappelijk kader. Rast (Halte) Quand la neige me cingle de visage, » écrit Johann Mayrhofer (Souvenirs sur Franz Schubert, 1829)[9]. « Le pays du retour n'est nulle part[35]. Manches bunte Blatt zu seh’n, Çà et là, sur les arbres est tombée dans la neige, Selon Michel Schneider, il « est un exemple absolu de concision et de forme pure[34]. No. Le caractère sombre du musicien – « l'hiver est tombé sur son âme Â» dit Marcel Beaufils[6] – pendant la composition impressionne ses amis[13], d'autant que la première partie du cycle est justement fondée sur une rumination du souvenir, propre au romantisme. Le Voyage d'hiver est l'œuvre la plus triste du compositeur, il n'y a aucune issue ; l'hiver est la mort. 1. Comme je lui demandais ce qu'il lui arrivait, il eut cette seule réponse : Vous l'apprendrez bientôt et vous comprendrez pourquoi. Dès le premier lied, Gute Nacht / Bonne nuit, la tonalité est donnée : mineure : elle le restera tout du long, sauf les éclaircies de Lindenbaum et Frühlingstraum. Dès le premier lied, Gute Nacht / Bonne nuit, la tonalité est donnée : mineure : elle le restera tout du long, sauf les éclaircies de Lindenbaum et Frühlingstraum. Schubert mêle dans ce cycle à parts égales le duo instrumentiste et chanteur, anticipant Schumann. Quatre ans après avoir mis en musique le cycle, La belle meunière, Schubert peut lire douze nouveaux poèmes découverts dans la bibliothèque de son hôte, son ami Schobert, l'année même du décès de Wilhelm Müller (1827). Viennent ensuite, Hermann Prey (six fois), Hans Hotter et Gérard Souzay (cinq fois), Peter Schreier (quatre) et Ernst Haefliger (trois)[48]. Gute Nacht (Bonne Nuit) 89, D 911 – drugi (obok Pięknej młynarki) cykl pieśni napisany przez Franza Schuberta do poezji Wilhelma Müllera.Utwór został skomponowany w 1827 roku.. W 1994 roku Stanisław Barańczak opublikował tom wierszy Podróż zimowa. La partition, après validation par la censure, est publiée en deux volumes comme opus 89 chez Tobias Haslinger, qui avait déjà publié en avril 1827 la Sonate pour piano no 18 en sol op. Étranger je repars. Der Mai war mir gewogen Mit manchem Blumenstrauß. Gute Nacht (Franz Schubert), Lied von Franz Schubert (1827) Gute Nacht (Adolf-Eduard-Marschner-Lied), Lied von Adolf Eduard Marschner Gute Nacht!, Gedicht von Kurt Tucholsky aus Fromme Gesänge (1919) Gute Nacht?, Gedicht von Theobald Tiger (Pseudonym von Kurt Tucholsky) aus Ulk (1919) Gute Nacht (Die-Ärzte-Lied), Lied von Die Ärzte (1989) Ses thèmes sont en affinité et comme l'expression de l'état d'abattement où se trouvait alors le musicien. Fremd bin ich eingezogen, Fremd zieh' ich wieder aus. Le voyageur, tant terrestre que sentimental, est perdu, sans espoir et avec la sensation d'être au bord du vide, entre suicide et folie. – En fa majeur / Sehr langsam, Auf einen Totenacker Il s'agit d'un style choral et une étape métaphysique[39] qui se conclut sur « Je me sentirai mieux dans l'obscurité Â». Le dessin mélodique à la voix commence haut perché sur le fa et descend jusqu'au ré (la tonique) plus d'une octave plus bas. Le choix de Schubert de garder l'ordre des poèmes tels qu'ils se présentent, fait que les plus sombres (Der Wegweiser, Das Wirtshaus et Die Nebensonnen) sont groupés dans la deuxième partie, alors que les plus clairs (Irrlicht et Frühlingstraum) sont dans la première partie. Passe dans le ciel lumineux. Comme si la musique elle-même avait fui, tel le cœur mort du voyageur. Pour lui, l'œuvre est achevée[5] et il écrit Fine au bas de la page du douzième lied, Einsamkeit, originellement en ré mineur, c'est-à-dire retournant à la tonalité du premier. All structured data from the file and property namespaces is available under the Creative Commons CC0 License; all unstructured text is available under the Creative Commons Attribution-ShareAlike License; additional terms may apply. Schubert avait déjà mis en musique un cycle de poèmes intitulé La belle meunière (1823) dont il partage le thème de l'amour non partagé et sont placés « tous les deux sous le signe de l'errance, l'un des thèmes majeurs de l'époque et du lied schubertien[8] Â». Quand j'ai quitté la ville, 16. En el Catálogo de Deutsch es el D. 911.. Es una de las obras que compuso en el último año de su vida, y el conjunto de lieder que más trabajó. Mais ensuite, la progressive désagrégation psychique du voyageur n'est que timidement rendue. 78 / D 894. In zijn boek Willst zu meinen Liedern deine Leier drehn? Étranger je suis venu, Le premier lied est en majeur, mais la fin abandonne le majeur pour conclure en mineur. Les poèmes de Müller correspondent parfaitement à l'état d'esprit du compositeur à ce moment-là : fatigué, découragé, il se reconnaît dans le narrateur dès qu'il découvre les poèmes. Le champion en est le baryton Dietrich Fischer-Dieskau qui l'a enregistré (en concert ou au studio) une douzaine de fois entre 1948 et 1990. 89, D. 911). À l'enterrement, il est porte-torche parmi les trente-six du cortège au côté de Grillparzer[20]. « Certains lieder heureusement sont franchement réussis : « Hampson entreprend un « tout-dramatique Â» schubertien, aventure foudroyante, à vif, ultra-démonstrative, qui réussit grâce à la parfaite maîtrise de moyens voyaux puissant et racés. Un autre de ses amis témoigne : « L'ironie du poète, prenant ses racines dans le désespoir, trouva en lui un écho et lui donna une expression musicale mordante. C'était l'époque où il a découvert sa maladie, la syphilis, suivie de périodes passées à l'hôpital où il compose certains lieder, d'après ses amis. Schubert a trente-et-un ans. The Linden Tree (Der Lindenbaum) Die Winterreise No. – En mi-bémol majeur / Nicht zu geschwind, Hie und da ist an den Bäumen Täuschung (Illusion) Das Mädchen sprach von Liebe, Die Mutter gar von Eh', - Nun ist die Welt so trübe, Der Weg gehüllt in Schnee. 14. Da ich zur Ruh’ mich lege, Je ne sens combien je suis fatigué Podróż zimowa (niem. 4. Hab’ lang und fest sie angeseh’n. Wasserflut (Inondation) Je la secoue bien. J'en fus douloureusement ému. Il était touché par l'émotion directe et sensible du poète. In het 24e lied ontmoet hij de Leiermann, de speelman met de draailier, een verpersoonlijking van de dood. Lorsque la monotonie syllabique intervient, comme dans Der Lindenbaum et Die Krähe, il s'agit d'une métaphore de la folie[22] dans laquelle tombe le voyageur. La première partie paraît du vivant du compositeur, le 14 janvier 1828, et la seconde, le 30 décembre 1828, un mois après la mort du compositeur, à trente-et-un ans. Winterreise semble reprendre là où en était le voyageur : La belle meunière en effet, s'achève sur les mots Gute Nacht, alors que le Voyage commence avec un poème portant ce titre. Là-bas, derrière le village Winterreise), op. ». Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

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